France Colissimo 5 kg

Paire de portraits pastel signés Pierre Carrier Belleuse : 1893

Paire de portraits pastel signés Pierre Carrier Belleuse : 1893
Ensemble de 2 portraits de la même fillette nommée Pierrette
dessinés à 6 mois d’interval, lors de l’année 1893
 
Ces tableaux sont passés par la salle des ventes
Sotheby Parke Bernet de Stockholm, ce qui atteste de leur qualité
24 * 31,5 cm à vue
33 * 40,5 cm cadre inclus 
 
Très bonne condition

Paire de portraits homme et femme à la cigarette signés José Galvan (1910-2001)

Paire de portraits homme et femme à la cigarette
signés José Galvan (1910-2001)
 
Dimension : 45 * 55 cm (cadre inclus)
 

BIOGRAPHIE de GALVAN José – artiste peintre à MONTMARTRE
Atelier : 31, rue Gabrielle – PARIS 18ème

GALVAN José – né le 30 juillet 1910 à ASPE (Province d’ALICANTE – Espagne) – décédé le 25 août 2001 à BENIDORM (Espagne).

A l’age de 19 ans, il est allé habiter à ALCOY (Espagne) et travaille dans une école industrielle où il dessine des copies. Là, ses Professeurs remarquent son travail et le dirigent dans la section  » dessin d’après nature « . Après la guerre civile, il suit des cours du soir à BARCELONE (école REAL CIRCULO ARTISTICO).Il peint alors des modèles vivants. Il expose des nus, des portraits et des paysages à BARCELONE, PERPIGNAN (1959-1960) et à MONTPELLIER. GALVAN s’installe à la butte MONTMARTRE à PARIS en 1962 et expose au Salon de l’Art libre. Au Grand Palais, il est présent à l’exposition des peintres espagnols de PARIS, organisée par les Ministères de la Culture de France et d’Espagne.
A MONTMARTRE, il participe aux manifestations de la Mairie du XVIIIe et montre ses oeuvres dans la salle paroissiale de l’église Saint-Pierre.

La biographie du peintre espagnol José GALVAN figure dans le DICTIONNAIRE DES PEINTRES A MONTMARTRE (1999) – Editions André ROUSSARD – 13, rue du Mont Cenis 75018 PARIS FRANCE. 

GALVAN José par Lucien VILAR,
Délégué régional du Syndicat des Journalistes et Ecrivains à PERPIGNAN
(ALUTA – revue des Poètes du Quercy et de France – n° 66 – avril-juin 1960)

Si, comme l’a dit Malesherbes :  » L’extravagance est si générale qu’on ne la remarque plus  » je me sens (abondant dans le sens de cet auteur) d’autant plus enclin à parler aujourd’hui de l’oeuvre d’un artiste dont l’étoile qui monte brillera bientôt dans le firmament de la peinture contemporaine. Si nous entendons de nos jours de graves benêts proclamer avec une parfaite inconscience que tel tableau (qu’on peut examiner dans tous les sens sans arriver à savoir ce qu’il représente) est un chef d’oeuvre. De nombreuses personnes se laissent continuellement abuser par les coups de grosse caisse de la publicité et semblent ignorer que les girouettes occupent toujours le sommet des édifices.

Cet artiste peintre natif d’ASPE province d’ALICANTE (Espagne) fit un long séjour à MADRID : les richesses contenues au Musée du Prado furent pour lui une illumination et le souvenir des grands maîtres le poursuit lors de ses déplacements dans la péninsule ibérique.

L’art de J. GALVAN ne peut être mêlé aux élucubrations picturales de certains esthètes apprentis sorciers. Bien au contraire, imbu des plus nobles principes que nous ont légués les plus grands maîtres de l’antiquité, le peintre GALVAN a su résister à la facilité qui est de mise chez bon nombre de barbouilleurs …

Source : www.artmajeur.com